Moins de pollution de l’air
La mobilité du futur pour se déplacer en 2050 est également synonyme de mobilité durable. En effet, les impératifs sanitaires et environnementaux exigent des solutions plus respectueuses pour la santé publique et pour la planète.
Quelques chiffres de la pollution atmosphérique
En préambule, rappelons plusieurs données essentielles à propos de la pollution atmosphérique.
Tout d’abord, sur les 40 millions de véhicules en circulation en France, près de 98 % roulaient à l’essence ou au diesel au 1ᵉʳ janvier 2022.
La pollution de l’air est responsable d’au moins 40 000 morts par an en France et d’au moins 4 millions de décès / an à l’échelle mondiale.
En ce qui concerne les transports, le secteur est à lui seul responsable de 80 % des émissions polluantes et de 31 % des émissions de CO2 en France.
Les mobilités du futur pour se déplacer en 2050 et réduire la pollution de l’air
Une fois ces données posées, il est clair que de nouvelles solutions s’imposent en matière de mobilité durable du futur.
Premièrement, les moyens de transport électriques, déjà en place depuis plusieurs années, semblent avoir de beaux jours devant eux. Ceux-ci vont des transports particuliers, aux transports en commun, jusqu’aux transports sur de plus longues distances.
Toujours électriques, mais encore plus innovants, les véhicules à hydrogène arrivent peu à peu sur le marché. Ces derniers concernent les véhicules particuliers, mais aussi tous les autres types de véhicules, y compris les trains et les avions.
Enfin, en plus de ces nouveaux types de carburants, l’aménagement des villes et les nouvelles technologies liées à la circulation participent, elles aussi, à la réduction de la pollution atmosphérique.
En effet, les capteurs, les caméras, les nouveaux marquages et feux de signalisation intelligents reliés au trafic en temps réel participent tous à la réduction des temps de trajets et à la fluidification du trafic, entraînant à leur tour une réduction des émissions polluantes et une meilleure qualité de l’air !