Comment protéger la vie sauvage ?
La protection de la vie sauvage commence par des actions conscientes lors de nos sorties en plein air.
En randonnée, il apparaît comme essentiel de respecter la quiétude des animaux sauvages, en les préservant des perturbations sonores engendrées par les marcheurs. Les chiens peuvent également provoquer du stress chez les animaux sauvages. Ainsi, tenir nos animaux en laisse durant notre parcours est un geste simple, mais important pour éviter de les effrayer.
Lors de nos promenades, il est impératif de ramasser tous nos déchets. Marcher sur les sentiers désignés préserve la flore locale et les micro-organismes qui en dépendent. Prendre des photos au lieu de cueillir des fleurs permet d’apprécier leur beauté sans les endommager.
Si l’on souhaite allumer un feu, il est recommandé d’utiliser des foyers existants ou des vasques à feu en métal pour prévenir les dommages au sol et aux organismes environnants.
Par ailleurs, il existe des solutions pour aider, à son échelle, à sauver les animaux en voie de disparition. Par exemple, nourrir les oiseaux en hiver peut leur sauver la vie. L’installation d’un hôtel à insectes dans les jardins offre un refuge bienvenu pour une variété d’insectes et de pollinisateurs.
Enfin, il ne faut pas oublier les espèces d’eau douce, dont 1/3 sont menacés d’extinction. L’eau douce est essentielle pour la nature. Pourtant elle ne représente que 2,5 % de l’eau de la terre.
Mais alors, comment protéger l’eau douce et son écosystème ? Cela passe par l’utilisation responsable de l’eau. Des actions telles que la récupération d’eau de pluie ou l’installation de mousseurs sur les robinets sont des moyens pratiques et concrets pour préserver notre eau douce.
Protéger la vie sauvage, c’est adopter des pratiques responsables et bienveillantes à chaque étape de notre interaction avec la nature.